Cette semaine découvrez votre responsable de la 8ème circonscription
"Tôt ou tard, je suis persuadé que notre camp finira par l'emporter, à l'image de ce que l'on voit partout en Europe. À un moment donné, le réel ne pourra plus être éludé et il y aura un réflexe de survie." Mais avant ça, précise-t-il, il faut "gagner la bataille culturelle." C'est tout l'objet de l'engagement de Jacques Muller auprès de Reconquête. Dans la septième circonscription du Nord, il combat auprès de Corinne Deltour, la responsable et de Didier Sori-Poidevin pour implanter localement Reconquête et faire progresser nos idées. Cette circonscription urbaine d'environ 106 000 habitants englobe notamment les villes de Hem, Croix, Lys-lez-Lannoy et Wasquehal où gîte ce combattant de toujours de la cause nationale.
En 2002, le tsunami médiatique contre Jean-Marie Le Pen, suite à la qualification au second tour du fondateur du Front National, l'interpelle. "Je me suis demandé pourquoi tout le système médiatique s'était mis en branle à ce point pour l'abattre et le mettre plus bas que terre." À l'oeil critique s'ajoute rapidement le réel alors que Jacques, qui grandit à Bruxelles et suit sa scolarité à Haubourdin, le côtoie au quotidien. "Il suffit de sortir et de commencer à travailler pour le voir, il nous saute véritablement à la figure!" Pourtant, le chemin menant Jacques vers la politique n'a pas été rectiligne. "À l'époque, au début des années 2000, j'avais de l'affection pour le Front National et déjà des idées de droite mais, critique du système, je ne croyais pas encore assez aux élections pour aller voter." C'est en 2009 que Jacques se décide à s'engager en adhérant au Front National de la Jeunesse. Le réel, toujours lui, aura été le déclic. L'homme de 37 ans travaillait alors en tant qu'agent de sécurité en grande surface. La prise de conscience sur les problèmes migratoires s'accélère en même temps qu'une volonté farouche d'agir, de ne pas rester les bras croisés. Chose faite aux élections européennes de 2009 lors desquelles il milite activement dans la ville de Nantes. "Professionnellement, je suis passé d'employé saisonnier à gérant de discothèque mais mes idées, elles, n'ont jamais varié et sont même renforcées. Je serai très actif jusqu'en 2017, année qui a marqué la fin de mon adhésion au FN. Non en raison d'une perte de foi politique mais plutôt pour des divergences de points de vue devenues trop sensibles. "On peut admettre la stratégie de Marine Le Pen de lisser la ligne mais avec le recul on constate que ce n'était pas la bonne stratégie. En politique, il faut assumer ses idées, en être fiers et même les revendiquer. C'est comme cela que l'on peut convaincre, en maintenant le cap." Autre facteur de scission, l'aspect économique du programme du RN. Pour Jacques, ce dernier n'est "ni sérieux, ni crédible".
Démoralisé par le résultat de 2017 et l'élection d'Emmanuel Macron, Jacques choisit de changer de vie et d'air, en Thaïlande puis en Bulgarie. C'est donc de l'étranger qu'il suivra la campagne présidentielle puis législative. Dès son retour, il s'encarte à Reconquête. Pour la personnalité d'Eric Zemmour qu'il connaît et suit depuis l'époque Ruquier et les chroniques sur RTL. Pour le programme économique, solide, crédible et de droite, au contraire d'un programme défendu par le RN qu'il juge "démagogique et irréalisable, pratiquement équivalent à celui de la France Insoumise!“ Pour lutter contre les ”délires wokistes", aussi. Pour l'union des droites et des patriotes, “seule solution pour gagner”, et que Reconquête prône depuis toujours.
Optimiste, Jacques l'est sur une victoire à terme et voit le verre à moitié plein dans le score réalisé aux présidentielles. "C'est une première candidature, nous naissons dans le paysage politique français. Il faut que notre mouvement infuse dans l'opinion. Eric Zemmour avait tout le système contre lui et des circonstances défavorables: guerre en Ukraine, vote “utile” dû aux sondages. Sur le fond, sur bien des sujets et notamment l'immigration, n'oublions pas que nous sommes majoritaires en France!"
Jacques a accepté de prendre en main la difficile huitième circonscription (Roubaix) en plus de la septième gérée en trinôme avec Didier et Corinne, se fixant pour objectif d'avoir une présence maximale sur le terrain par du collage, du boîtage et quelques marchés ciblés. Même dans les endroits compliqués au vu de la typologie de population, la Reconquête est en marche. "Il faut marquer le territoire, aller partout et montrer que nous sommes présents." Par les réunions et les rencontres, le lien avec les adhérents est maintenu et les échanges sont réguliers. Il s'agit aussi de coller à l'actualité. "Suite au pillage et à l'incendie du Lidl de Wattrelos, nous sommes allés à la rencontre des gérants du magasin, des pompiers et avons soutenu les forces de l'ordre en leur offrant des petits présents, nous avons visité les quartiers dégradés."
Notre responsable de circonscription voit la politique comme un moyen de défendre à la fois son pays et ses idées. "Nous devons respecter nos racines, faire perdurer notre héritage civilisationnel, être conscient d'être dans un combat pour quelque chose de plus grand que nous. La société occidentale est le meilleur modèle qui soit et notre devoir est de la préserver." Jacques défend le travail comme moyen d'émancipation et d'accomplissement personnel, tant du point de vue matériel, intellectuel que spirituel. Il croit à l'assimilation avec pour terreau et pour base une certaine homogénéité culturelle. Il se dresse contre la fiscalité confiscatoire en France, et milite pour une réduction des impôts et taxes afin de récompenser l'entreprise et le travail. Ce papa de bientôt deux enfants vivant en concubinage fait de la famille traditionnelle un modèle et un ancrage pour l'équilibre de la société. Ce passionné de moto et de gastronomie française veut renvoyer le wokisme dans les oubliettes de l'histoire.
Cela tombe bien, Reconquête fait de ces combats et de ces axes son cheval de bataille.
Votre Fédération du Nord